le poste des équipages en mer
- dès qu'il y avait un peu de mer, c'était le chambardement,

- les casiers mal fermés répandaient leurs contenus : poudre à laver, eau de cologne, produits alimentaires, linge sale...

- par les hublots mal fermés de l'eau de mer pénétrait,

- par les champignons d'aération situés au plafond et donnant sur la plage arrière non fermés (par un petit volant que l'on vissait) et l'eau de mer pénétrait,

- ceux qui étaient malades, vomissaient dans ce qui leur passait sous la main, s'en débarrassant sans être gêné,

- le tout passant d'un bord sur l'ordre, agréable lorsque l'on sort de sa bannette pieds nus,

- donc des odeurs de toutes sortes, avec en prime ceux qui ignoraient l'existence d'une douche à bord,

- après le quart à la machine, en tant que mécanicien, la douche était un passage obligé,

- difficile aussi de manger à table, une couverture sur la table limitait le glissement des couverts.